photo ©Roland Clerc (Pensez à cliquer sur les photos)
Nous sommes toujours à Elke Island, sur les traces de Buffalo Bill, Roland Clerc s'est aventuré près des bisons où il semblerait avoir eu les plus belles inquiétudes, plus que devant les grizzlis ou les ours noirs, et on comprend mieux toute l'ardiesse des indiens qui devaient les affronter avec arcs et flèches. Roland n'avait que son Reflex, et son courage. C'est beaucoup mieux ainsi pour la sauvegarde de l'espèce, mais quel frisson il nous donne.
Ne pensez pas que nous sommes dans un parc à touriste banal. Se trouver dans cette situation demande beaucoup de préparation, de forme physique et de temps. Nous avons la chance de vivre ces moments devant nos écrans. Merci à toi grand reporter, nous sommes conscients que nous visionnons des images uniques.
Roland Clerc nous dit :
"Dans cet endroit, nous avons surtout fait des images de bisons et en leur compagnie j’ai vécu des situations assez compliquées où il fallait rester drôlement calme pour ne pas se faire piétiner. Mais alors quelle aventure et quel bonheur de rencontrer une vraie nature sauvage et surtout très démonstrative."
Eric
Muchas gracias, Monsieur! :-)
RépondreSupprimerIntentaré instalarlo, a ver, soy muy mala para la tecnología!
Moi, je flâne par votre blog et j'ai le sentiment d'être en voyage et en plein nature :-)
Il m'arrive des fois même l'air froid et savoureux des bois de montagne...
Je peux imaginer cette émotion... Les bisons me ramènent en imagination à la préhistoire, ils ont un air tellement farouche et ils ont été pourchassés tant et tant qu'ils pourraient se trouver dans la galerie de l'évolution parmi les espèces disparues au coté du dodo ou du loup de Tasmanie.
RépondreSupprimerA moindre échelle, on ressent cette symbiose avec la nature dans les Pyrénées, au milieu des troupeaux en liberté...
(Les ours sont timides, parait-il)