Entre deux averses, au Jardin de la Sauvagine, temps maussade de Juillet

 En construction dans le tronc d'un sorbier des oiseaux (Sorbus aucuparia) un nid de Pic épeiche au Jardin de la Sauvagine.
Allons les découvrir en cliquant  ICI  sur les très belles photos de Roland Clerc. 

L'asphodeline liburnica, plante méditerranéenne, a bien du courage de rester fidèle au jardin par ce mauvais temps. Les floraisons sont très éphémères, en soirée.

Les seuls à profiter de cette saison froide et humide, et qui pour une fois ont bien résisté à l'hiver, les hortensias s'annoncent magnifiques, à floraisons précoces. Ici des hortensias anciens sur sol neutre plutôt calcaire.

Un coin de salon de jardin "peu fréquenté"

Le coin des rocailles a subi un bon nettoyage. On y redécouvre des petites alpines oubliées sous l'avalanche des alchemilles et des achillées envahissantes, des fraisiers sauvages que je préserve pour la petite faune, dont grenouilles et crapauds, des orties puantes, des ronciers déchirants qui se marcottent à qui mieux mieux et des arbustes divers  qu'il a fallu tailler.
On y voit un peu plus clair au bénéfice d'un petit pin arolle, une mascotte fétiche, et de quelques digitales jaunes (Digitalis lutea)

D'autres hortensias anciens, ici sur un sol plus acide, d'où grande variance de couleurs et de tons magnifiques

J'ajoute à ce reportage en live le témoignage d'une première nichée d' hirondelles rustiques, elles sont si rares cette année que malgré la mauvaise qualité des photos, nous les voyons ici à ma porte en pleine séance acrobatique de nourrissage.

Bonne journée, en attente d' éclaircies...


et comme d'habitude, pour plus de photos, allez voir l'album en live du Jardin de la Sauvagine en cliquant sur le lien  ICI