Roland Clerc m'a fait ses confidences,
ce n'est pas une mince affaire que de se faire accepter par ces grands cerfs en rut.
Essayer de se faire plus rusé que ces animaux,
approche furtive dans la nuit, dans le brouillard,
se mettre à l'affût sous un mélèze
avant que le jour ne se lève,
sur l'emplacement même privilégié
par un majestueux cerf de 14 cors
surveillant sa harde de biches.
Roland Clerc n'a pas fini de nous étonner,
il nous prouve encore par ce reportage
comme il sait se mettre dans la peau de ces animaux
pour nous faire vivre ses aventures.
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Pour la petite histoire, le jardinier s'est pris un moment pour Roland Clerc, en découvrant dans une des rocailles du Jardin de la Sauvagine, sous une pierre de tuf, une petite hermine, ombre furtive, elle aussi, qui faisait mirer sa toison blanche
et ses petits yeux brillaient d'intelligence.
Comment ne pas respecter et admirer cette petite faune.
Comment ne pas respecter et admirer cette petite faune.